Selon le ministère de la famille, de la femme et de l’enfant dans son rapport de 2018, 64% des femmes interrogées dans le cadre de son enquête sont victimes de VBG. Ces violences sont d’ordre psychologique, verbale, physique, sexuelle ou économique.
Plusieurs femmes restent dans le silence par méconnaissance, de peur d’être incomprises, refoulées ou marginalisées par la société. Peu de centres d’écoute et de prises en charge des victimes existent.
La CSCI invite toute la communauté à respecter les droits de la femme afin que celle-ci puisse s’épanouir, vivre en toute quiétude et contribuer à la paix. Car comme le dit le Coordonnateur National « ce serait irresponsable pour l’humanité, de se passer de sa moitié ».

Modèle photo : Estelle Gberi Cho, membre du personnel de la CSCI.
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